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Pourquoi les parents se mettent-ils en colère contre leurs enfants ? L'irritation, la colère, la colère sont des émotions fondamentales que tout le monde éprouve. Elles peuvent se manifester de différentes manières : sous forme d’agressivité exprimée ou d’agression cachée et passive. Pour les décrire, nous utilisons souvent le terme « émotions négatives ». Cependant, ces émotions sont précisément le mécanisme de défense qui nous motive activement à changer la direction de notre insatisfaction. Ils mobilisent toutes nos ressources et nous encouragent à agir dans une situation où surgit une menace, par exemple liée à la violation de nos limites personnelles. Le sentiment de menace d’une personne est construit sur des expériences du passé et est déterminé par la façon dont elle imagine le danger dans son imagination. Il y a des situations où une personne se met en colère et ne peut alors pas comprendre exactement ce qui a provoqué une telle réaction. La véritable cause de la colère n’est pas toujours consciente. Peut-être avez-vous remarqué ou été témoin qu'un adulte réagit parfois aux mêmes méfaits et farces d'un enfant par une remarque calme, et parfois explose avec un cri. Le fait est qu'il peut y avoir de nombreuses raisons derrière notre réaction négative. L'une des raisons de l'émergence et de la manifestation de la colère peut être des troubles mentaux : trouble affectif bipolaire, troubles de la personnalité, dépendances chimiques et non chimiques, addictions, etc. Dans cet article, nous examinerons les facteurs psychologiques et physiologiques qui peuvent influencer l'apparition de colère et de réactions agressives chez les parents envers leurs enfants.1. Ne pas être suffisamment en contact avec vos ressentis et vos besoins. Très souvent, je rencontre des situations dans la pratique où des clients adultes ont du mal à répondre à la simple question « comment vous sentez-vous ? Ils commencent à écrire des pensées, des actions, mais pas des sentiments. Cela peut indiquer un contact insuffisant d’une personne avec ses propres sentiments et sensations corporelles. Il est difficile pour un tel parent de suivre la fatigue physique et émotionnelle ; par conséquent, un surmenage sévère entraîne une perte de contrôle et le parent s'en prend à l'enfant.2. À la recherche de l'image idéale d'un parent, spécialiste, maître de maison, les adultes ne font souvent pas de corrélation entre leurs atouts et le volume des tâches prévues. Un nombre écrasant de tâches représente toujours un énorme fardeau. Souvent, il n'y a tout simplement pas assez de force pour accomplir tout ce qui est prévu, ce qui peut déjà provoquer de l'irritation. De plus, il arrive aussi que la vie ne se déroule pas comme prévu : l'enfant est malade, sale, en retard, capricieux... Et l'adulte est irrité, offensé, en colère... et même en colère.3. Manque de sommeil et de repos adéquats, temps libre pour soi, mauvais bien-être physique, lourde charge de travail avec un travail de routine, lorsqu'il n'y a pas d'aide et de soutien de la part des proches - tout cela contribue à une fatigue intense dans un tel état, c'est difficile. trouver des ressources pour analyser objectivement la situation et faire face à ses propres émotions . Un parent épuisé réagit de manière agressive envers l'enfant, puis peut s'inquiéter et se blâmer.4. Les situations sont souvent aggravées par les attitudes parentales : « Les bons parents ne se mettent pas en colère » ou « les bons parents n’ont pas d’enfants qui se mettent en colère ». C'est l'interdiction de la colère. En conséquence, un parent, confronté à la colère de son enfant, ne peut pas faire face à ses propres expériences. Un adulte essaie de toutes ses forces de supprimer les émotions négatives : les siennes ou celles de l’enfant. Et, paradoxalement, il réagit de manière agressive : il crie, menace, donne une fessée au bébé. Une telle dépression chez un enfant peut, encore une fois, être la conséquence d'un mauvais contact avec ses sentiments et ses besoins et de son incapacité à les exprimer. Un adulte n'a pas de modèles constructifs de prononciation, donc l'irritation est immédiatement suivie, comme chez un enfant, d'une explosion et d'une action.5. Les idées persistantes des adultes sur ce qu'un enfant devrait ou ne devrait pas faire et les attentes irréalistes de l'enfant deviennent souvent la cause de la frustration des parents. Il peut être difficile pour les pères et les mères d’accepter le « comportement difficile » de leur enfant, que presque tous les enfants subissent en grandissant. Par exemple, le négativisme, l’obstination pendant la crise de trois ans. Caprices, farces,.