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De l'auteur : Depuis que j'étudie la psychogénéologie depuis longtemps, je ne pouvais ignorer la question : pourquoi les enfants nous ressemblent-ils ? Est-ce juste une question de gènes ? L'article décrit brièvement certains des mécanismes psychologiques qui peuvent être à l'origine de ce problème. J'aime chanter. A la maison je chante partout : dans la cuisine, dans la salle de bain, dans le salon, on a une bonne acoustique. Ma grand-mère aimait aussi avoir une romance émouvante après un délicieux dîner. Et j'ai remarqué que mon fils fait la même chose lorsqu'il se déplace dans la maison ou fait quelque chose de monotone. Comme j'étudie la psychogénéologie depuis longtemps, je ne pouvais ignorer la question : pourquoi les enfants nous ressemblent-ils ? Est-ce juste une question de gènes ? Après avoir étudié la question, je me suis rendu compte que le génotype joue certainement un rôle important dans la transmission des caractéristiques physiologiques de base. Mais il y a quelque chose qui ne peut être expliqué par les gènes. Ce sont des caractéristiques psychologiques. Les chercheurs n’ont pas trouvé de porteurs aussi spécifiques dans le corps. Alors pourquoi mon fils répète-t-il mon habitude de chanter tout en faisant des affaires ?1. "Syndrome de Stockholm". Il est d'une importance vitale pour un bébé d'avoir de bonnes relations avec sa mère, car il dépend entièrement d'elle. Cet état de fait l'oblige à tout mettre en œuvre pour parvenir à l'amour. Un enfant copie le comportement de sa mère ou de son père ; cela se produit lors du processus d'enseignement aux enfants par les parents, en les imitant ou à la suite d'une identification. Cela peut être comparé au syndrome de Stockholm, lorsqu'un enfant en otage, pour se rapprocher de son ravisseur, tente de lui plaire en copiant son comportement.2. Un mauvais traitement ou un mauvais amour et des soins. Les parents déprimés partagent leur dépression avec l'enfant, et les parents aimants créent chez l'enfant le sentiment qu'il est aimé pendant de nombreuses années. 3. Le désir d'une personne qui, par exemple, a été maltraitée dans son enfance, de répéter son passé, dans l'espoir d'obtenir un résultat différent. Une victime de violence peut, sans le savoir, créer des relations similaires ou encourager les autres à la traiter de la même manière que ses parents. Dans les cas de très mauvais traitement, comme par exemple la violence sexuelle domestique, l’enfant peut percevoir l’expérience comme normale. Et quand il grandit, il se rend compte de l'anomalie de la situation et éprouve une douleur si intense que le psychisme se tourne vers la défense (suppression, rationalisation). Ou bien il essaie simplement d’oublier le passé, ce qu’il était, sans y voir de problème. Mais le problème apparaît toujours dans le présent, sous la forme de marcher constamment sur le même râteau. C'est un exemple négatif. Mais cela arrive souvent dans ma pratique. Il est à noter que les qualités positives se transmettent selon les mêmes mécanismes. La plupart des parents font de leur mieux pour leurs enfants, soutenant leurs aspirations de toutes les manières possibles, louant leur beauté, leur talent et leur gentillesse. Et ces émotions agréables, chacune d’elles, les accompagneront pour le reste de leur vie, ainsi que les conséquences des mauvais traitements et les sentiments qui y sont associés. Que faire si vous réalisez que les racines de vos problèmes actuels se trouvent dans le passé et sont liées à vos parents ? Ou vous reconnaissez-vous déjà comme parent dans ce cercle vicieux ? Dans le prochain article, j'en parlerai. Merci d'avoir lu mon article. Vivez consciemment ! Bonne chance!