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Il y a les œuvres de Freud qui, selon moi, reçoivent le titre de hit et de best-seller : elles sont relativement faciles à lire et contiennent des idées très volumineuses et magnifiquement conçues, eh bien, elles il suffit de vous vendre la psychanalyse et de faire de vous un adepte d'un coup. Pour moi (!), il s'agit de « Une mémoire d'enfance de Léonard de Vinci », de « Totem et tabou », de « Psychologie de masse et analyse de soi » (la liste peut être allongée) « Au-delà du principe de plaisir » est une tout autre chose. matière. C'est un texte qu'il faut parcourir avec effort, déchiffrer et comprendre avec beaucoup de difficulté. Certains analystes recommandent de le considérer comme le discours de l'analysant sur le canapé. Qu’ai-je pu extraire de ce texte ? Nouvelle théorie des pulsions Auparavant, Freud divisait les pulsions en deux types : L'auto-préservation sexuelle (je pulsions) Au moment d'écrire cet ouvrage, Freud arrive à la conclusion qu'il existe quelque chose qui se manifeste à travers des phénomènes aussi différents que le jeu des enfants (avidité recherche de répétition), la névrose militaire (ce qu'on appellerait désormais SSPT) et, enfin, le transfert de l'analysant au bureau. Et ce quelque chose ne rentre pas dans la théorie antérieure des pulsions. Freud regroupe alors les deux types de pulsions précédents sous le nom de pulsions de vie. Il est important de comprendre qu’ils ne poursuivent pas un but de reproduction ! Ils obéissent aux principes suivants de Plaisir/Déplaisir – l’essence est la même. Permettez-moi de vous rappeler que selon Freud, le déplaisir est une augmentation et le plaisir est une diminution de la quantité d'excitation (ou de tension) sans rapport. Les réalités sont un retard de gratification sur un chemin détourné. (Vous pouvez lire à ce sujet dans "Interprétation des rêves") Constance - la tension doit être maintenue à un niveau minimum constant - ce niveau minimum Ainsi, tout cela concerne le maintien de l'homéostasie, et non la croissance et le développement ! Mais d’un autre côté, il existe un principe qui unit les jeux d’enfants mentionnés ci-dessus et le SSPT : le principe de répétition obsessionnelle. Il est soumis à la pulsion de mort, dont les attributs essentiels sont le rythme, la pulsation, la répétition sans fin, et la conséquence est une violation de l'homéostasie. Il s'agit de quelque chose de puissant qui a une nature organique (on peut en retrouver la même trace dans les processus physiologiques de la respiration, du rythme cardiaque, etc.) et qui est essentiellement l'envers des pulsions de la vie, car le but de toute vie est la mort, mais un la personne s'efforce de rendre le chemin qui y mène autant que possible long et difficile. Qu’y a-t-il d’autre d’important dans ce texte de Freud ? Théorie de l'anxiété/peur Freud identifie les types de peur suivants : L'angoisse - une désignation générale de la peur et de l'anxiété comme un état sans objet (je ne sais pas de quoi j'ai peur - a un objet (une idée) dans le corps) ; monde réel ; frayeur – un sentiment soudain de peur pour une raison quelconque ; phobie – peur pathologique, irrationnelle, inexplicable, excessive de tout objet ; affect associé au retour du refoulé. Il est important de se concentrer ici sur le fait que le traumatisme (et la névrose) se produit lorsqu'une personne n'est pas prête à un tel impact, n'a pas ressenti d'anxiété (Angst), c'est-à-dire une disposition à la peur, qui protège contre la peur qui provoque le traumatisme. Théorie du traumatisme Dans l'inconscient, l'énergie est sous une forme non liée. Dans le préconscient, il est associé aux idées. Lorsqu'un traumatisme survient, une grande quantité d'énergie non liée est libérée, qui doit être associée à au moins quelque chose pour l'intégrer dans votre histoire, réduire le niveau de tension et continuer à vivre. Des cauchemars récurrents avec des nerfs de guerre se produisent parce que l'inconscient tente d'intégrer cet événement dans son histoire. Dans l'analyse, cette liaison se produit également à travers des associations libres et la parole. Autre interprétation des cauchemars récurrents : ils créent cette anxiété dont l'absence a causé la blessure, puisqu'il n'y avait aucune préparation au danger. Une tentative de répétition est une tentative d'écrasement. La répétition n'est jamais complète ; chaque fois que quelque chose de nouveau est introduit. Ainsi, la raison de la complication et du développement réside dans le traumatisme..